Sexe graphisme et vidéo
Les Carrières le 22 Juin 2018
De Limoges prendre l’A20 direction Paris puis s’engager dans l’échangeur vers la sortie Compreignac St-Sylvestre. Tourner ensuite à gauche vers Compreignac, dépasser le petit village de Margnac, tourner à droite juste après et emprunter sur une courte distance la petite route qui monte dans la forêt.
S’arrêter au bout de la route goudronnée. C’est en marchant ensuite sur le large sentier que se situe le lieu de drague dit « Des Carrières », endroit tranquille où l’on se trouve parfois même un peu seul à draguer la végétation.
Je marche sur ce sentier en ce vendredi après-midi 22 juin. Une Peugeot est garée en bordure du chemin, tous les espoirs sont permis. Je continue de m’enfoncer dans les bois et, effectivement, un homme mur dans la soixantaine a l’air de prospecter dans cet environnement, certainement pas à la recherche d’une espèce végétale ou animale rare. Je le croise à plusieurs reprises et nous échangeons un regard furtif. Il est chauve, assez petit et paraît clean, c’est-à-dire propre, l’hygiène est pour moi un prérequis minimal aux ébats sexuels.
Je m’aventure un peu autour du bloc rocheux derrière lequel les ébats des mecs ne peuvent pas être perçus du sentier. Mon gaillard est toujours en balade. Peu de temps après un 4X4 immatriculé dans les Hautes-Alpes fait son apparition. Le mec au volant est de la région PACA mais il semble connaître parfaitement les lieux et trouve de suite une aire de stationnement. Je le vois descende de sa voiture peu de temps après, il porte une mini jupe en jean échancrée par l’arrière, sans slip. Il est donc venu sur les lieux à minima pour s’exhiber et plus vraisemblablement pour se faire baiser. Ce n’est pas mon truc et je poursuis mon exploration.
Une alfa roméo arrive et stationne aussi dans les bois. Le conducteur est un mec d’une quarantaine d’années. Il s’aventure dans les bois, son attitude est plus celle d’un voyeur que d’un véritable acteur sexuel.
Je recroise mon homme à la Peugeot qui semble vouloir échapper à son errance solitaire. Il m’exhibe ses attributs sexuels. Son phallus me semble d’une taille non négligeable. Je commence à dégager mon matériel, cela l’encourage et il baisse son jean pour me montrer son fessier. Je reste stationnaire, il s’enhardit et se rapproche de moi. Nous continuons à nous caresser en solo.
Puis vient le moment fatidique où, côte à côte, nous touchons mutuellement nos queues et entamons une branle réciproque. L'érection survient. Une étreinte fiévreuse prend le relais, elle s’accompagne de caresses du dos de l’entrejambe et des tétons. C’est bon. Il me dit « chérie » et semble très excité. Je lui plais et il ne me déplait pas. Il se met à genoux et avale ma queue qu’il suce divinement bien, je gémis de plaisir et il me travaille en bouche longtemps. Il me demande si je veux le baiser, je lui réponds que ce n’est pas mon truc. Il respecte ma volonté et ne m’en parle plus. Nous continuons à nous étreindre et à nous caresser, il semble éprouver un plaisir intense à me sucer et me dit : « tu as une belle queue, ta femme n’a pas à se plaindre, si nous étions dans un lit ».
J’éprouve le besoin de lui tourner le dos. Il me caresse par derrière le cul, la bite et l’entrejambe, j’apprécie cette attaque, tout ça au travers de mon jean. Mes tétons ne lui échappent pas. Nous sommes accouplés et c’est bon. Nous frottons. Il me dit qu’il souhaiterait me revoir et que je lui plait. Je lui réponds que je suis d'accord pour un approfondissement sensuel. Je lui demande s’il est marié, il m'informe de son statut de divorcé. Nous n’allons pas jusqu’à la jouissance, je dois m’en aller. Ces lieux seront ceux de nos retrouvailles sexuelles.
Je l’ai retrouvé samedi matin sur le tchat Coco. Nous avons défini les modalités d’une prise de rendez-vous pour la semaine suivante. Du plaisir en perspective…