Sexe graphisme et vidéo
Mémoires courtes d’un libertin discret
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Initiation
Je suis invité chez Jean-Paul, un copain de quartier de Périgueux, nous nous amusons jusqu’à qu’il me propose bizarrement d’aller dans la cave de sa maison. Je ne comprends pas exactement le pourquoi de la chose, j’ai 12 ans et la naïveté qui va avec. Il m’entraine, je le suis, nous arrivons dans la demi pénombre, dans sa cave. C’est là qu’il s’accroupit et passe sa main sous mon short, cet effleurement me trouble profondément, c’est nouveau, délicieusement excitant et en même temps choquant. Il remonte doucement vers ma jeune queue, puis caresse légèrement mes couilles, c’est bon et ce sont mes premiers émois sexuels. J’en ai redemandé ultérieurement et c’est certainement cette première expérience qui m’a conduit vers la bisexualité.
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A Mauzens-Miremont (Dordogne)
Une journée à la campagne. Nous jouons avec mon copain Gilbert. Il doit avoir 11 ans et moi 13. Je me sens dans la situation d’un tout jeune mâle déjà un peu initié à la sexualité tactile par mon copain Jean-Paul. La maison de campagne, installée en haut d’une colline, domine la petite vallée qui conduit aux Eyzies-de-Tayac. Le soleil de fin d’été éveille en moi des désirs puissants. J’ai besoin de sexe. J’invite mon copain à monter au grenier de la maison où je suis certain que les vieilles grandes tantes ne viendront pas nous déranger. C’est là que j’entreprends de faire à Gilbert la même demande que Jean-Paul m’avait faite une année auparavant. Je glisse ma main sous son short. Il est réceptif à ce contact. Je m’enhardis et remonte jusqu’à son sexe et ses jeunes couilles. Je le mets à l’aise et lui dit qu’il peut m’en faire autant. Il le fait. Nous poussons la hardiesse jusqu’à baisser nos shorts et nous disposer face à face pour des caresses timides mais déjà très sexuelles et sensuelles. C’est comme cela que j’ai initié Gilbert, sous la vaste toiture, fort bien charpentée, d’une magnifique longère périgourdine. Nous avons ensuite eu des rapports sexuels très chauds quand l’occasion se présentait, au hasard des visites de ses parents chez nous.
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Chez moi
Jean-Claude, un des deux frères voisins d’en face, particulièrement vicelard, a tenté à plusieurs reprises de me toucher le sexe, sans doute afin de vérifier sa longueur qui devait lui sembler imposante et prometteuse, vue son relief décelable sous mes vêtements. Nous sommes deux jeunes ados. L’idée nous vient de nous cacher dans la cave de la maison de mes parents pendant que Serge, le second frère, nous cherche, c’est un jeu. Nous nous asseyons à califourchon sur la traverse d’une vieille table, moi devant et lui derrière. Il se rapproche de moi. Je le sens plaqué contre mon dos et son sexe se frottant contre mon fessier. Il commence par me susurrer à l’oreille: « mon amour ». Je dois l’exciter. Ses mains viennent tripoter ma queue et mes couilles. J’aurais pu le laisser faire et trouver ainsi l’occasion de lui rendre la pareille dans un environnement favorable à nos ébats. Nous aurions pu nous faire plaisir et jouir. Mais je n’ai pas osé, j’ai retiré ses mains de ma bite bandée et de mes couilles en feu. J’ai regretté ultérieurement de ne pas avoir su saisir l’occasion.
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J’ai 14 ans, une montée d’hormones très forte, des désirs fréquents qui se traduisent par des masturbations non moins fréquentes en regardant des catalogues de la « Redoute » avec des femmes en sous vêtements. C’est pathétique, je sais. Mais je n’ai rien d’autre à me mettre sous les yeux. La femme de ménage est là, j’ai flairé, en jeune mâle intuitif, qu’elle est une femelle salope et perverse. Je m’assois donc sur le petit canapé de ma chambre, je choisis un livre photographique sur l’Indonésie et sur les Dayaks coupeurs de têtes de l’ile de Bornéo. Ces photographies montrent de nombreuses femmes aux seins nus et leur vue m’excite beaucoup. Il fait chaud, nous sommes au mois d’août. Je sais par expérience que Monette, la femme de ménage, ne porte pas grand-chose sous sa légère blouse de travail et qu’elle serait très partante pour m’allumer voire même un peu plus. Des circonstances antérieures me l’ont fait entrevoir. Je fais donc semblant de lire, le livre ouvert sur la page des femmes dénudées et à la poitrine arrogante. Je la vois arriver dans la chambre, jeter un coup d’œil rapide sur ce que je suis en train de lire. Je la sens tout de suite intéressée pour ne pas dire échauffée. Elle se rapproche et commence à me déclarer : « tiens tu t’intéresses aux seins des femmes ». Je ne peux que lui répondre « oui », bien évidemment, pas question de fermer la page. Je me doute que la situation est prometteuse. Elle s’assoit sur moi tout de go. Les fesses bien plaquées contre ma bite tendue comme une arbalète. Elle me parle des seins de ces femmes, à son avis bien plus importants que les siens. Je vérifie immédiatement en lui plaquant mes mains sur sa poitrine. Elle a effectivement de petits nichons mais ce contact l’excite encore plus. Je sens une énorme sensation de chaleur qui se crée entre ses fesses et mon sexe. La tension est intenable. Je n’en peux plus de bander comme un taureau. Elle sent ma queue et me dit qu’elle aurait bien envie de la voir mais, et c’est là que je fais une erreur tactique lamentable, ma main glisse précocement entre ses cuisses et elle m’abandonne à mon triste sort, seul sur le canapé et en état d’érection invraisemblable. J’aurais du dégainer ma bite et j’aurais peut-être eu la chance que les choses puissent aller plus loin. Manque d’expérience. Je me suis masturbé ensuite jusqu’à la jouissance pour me soulager mais il m’est resté la profonde frustration d’une expérience sexuelle restée à l’état d’ébauche, par excès de précipitation. A ma décharge Monette était une allumeuse patentée, j’étais très loin de son niveau d’expérience et de sa perversité.
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Nous pratiquons avec Gilbert la « lutte à poil ». Nous aimons bien faire semblant de combattre vicieusement en corps en corps. Ce qui constitue pour nous une joute sexuelle très excitante. Nous nous inspirons des séances de catch visibles à la télévision. « L’ange blanc » est un de nos héros préférés. Nous avons tous les deux la perversité d’aimer nous battre sans pantalon et sans slip en frottant nos sexes. C’est la « lutte à poil ». Je le sens mouiller du bout de la bite lorsque nos prises se font plus rudes et que nous imitons nos héros avec un double nelson ou une fourche au visage. Gilbert aime ces combats, moi aussi. Sa nervosité et sa fougue dans les étreintes m’excite. Je perçois son rictus de plaisir un peu sadique et nos bites se raidissent. Le divan est pratique pour ce type d’exercice.
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Gilbert est devenu un vrai vicelard facile à chauffer. Dans la chambre, au premier, pensant que les adultes discutent au rez-de-chaussée les enfants s’amusent. Nous nous asseyons sur le parquet et commençons à passer nos mains dans les espaces disponibles entre le short et les cuisses. Notre but étant d’atteindre les zones sensibles situées plus haut et de se les tripoter. Au bout d’un certain temps d’exercice de cette activité tactile Gilbert me dit : « et si on faisait comme les petits chiens ». En gros le jeu consistait à se dénuder du bas et à se monter tour à tour l’un sur l’autre en positionnant sa bite dans la raie de son partenaire. C’est du chacun son tour à la mode apprentissage de la position en levrette, mais à l’horizontale. Inutile de dire que les queues raidissent et que nous amorçons l’apprentissage des coups de reins coïtaux. Gilbert, pris d’un élan très intuitif et précoce essaie de me sodomiser avec sa petite bite mais elle est vraiment trop raide malgré sa petite taille. J’ai mal et il n'insiste pas.
Nous renouvelons ces contacts très sexuels sur un lit. C’est plus confortable que sur le parquet. Nous prenons notre temps, jouissant chacun notre tour du corps de l’autre, mais sans éjaculer, bien que je sois à la limite de décharger ma semence entre ses fesses.
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Place des Bancs : pissotière en bas de la place
Idéal de se faire sucer en rentrant de vacances à la montagne lorsque les couilles sont bien pleines. Un vieux salaud commence à me caresser la bite puis il se baisse et entame une session de suce gourmande. Je bande comme un taureau. Dans la fougue de notre étreinte bucco génitale je le repousse contre le mur et nous continuons ainsi notre accouplement frénétique, lui accroupi bite en bouche et moi debout, emporté dans un élan sexuel exprimé à grands coups de reins pour mieux baiser sa bouche. Pendant ce temps deux mecs sont plantés au milieu de la pissotière, en imper et pantalons baissés, ils se branlent mutuellement en nous regardant. L’un des deux tend une main vers moi pour m’inciter à une partie à quatre. Je refuse le contact malgré l’excitation, car le suceur glouton m’emmène au plus fort de l’extase. J’éjacule puissamment dans sa bouche, il me vide les couilles. Juste le temps de jouir et nous sommes dérangés par un arrivant, nous nous désaccouplons et il crache mon jus dans la rigole de la pissotière.
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Un homme vient derrière moi et entame un lent frottage sans dégager sa queue, je me branle en même temps en sentant sa bite contre mes fesses. Pendant ce temps deux mecs, un petit et un grand se collent dans l’espace d’un pissoir et s’embrasse comme des dingues en se branlant et se frottant avec fougue. Le plus petit étant le plus actif à l’assaut de l’autre. Ils sont bruyants et frénétiques, sans aucune pudeur.
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Je me place au milieu de la pissotière face à face avec un autre mec. Nous dégageons nos queues et commençons à nous les caresser mutuellement très doucement, pendant longtemps, en un slow sensuel et pervers. Nous sommes les yeux dans les yeux durant ce long moment intensément jouissif et vicelard.
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Le mec à l’énorme queue incurvée s’exhibe avec frénésie. Il est à côté de moi dans la pissotière. Nos queues en main comme des armes nous nous provoquons au combat sexuel, en pleine érection, dans la pissotière. C’est un face à face façon provocation sexuelle. Je bande, il m’emmène ensuite dans les chiottes et me taille une pipe monstrueuse en maintenant la porte fermée. Génial !
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Au ciné les Ecrans : salle réservée aux films pornos
Au fond de la salle, la dernière travée, celle où les mecs les plus excités et aux pulsions bi ou homosexuelles se retrouvent pour des jeux sexuels pervers et jouissifs. ? Je m’y rends souvent les mercredi am. Je me dirige là plupart du temps vers le fond de la salle, là où c’est chaud. Il est parfois difficile d’y trouver une place assise, le lieu est prisé. Sinon il reste la possibilité de s’installer sur l’avant dernière travée et d’attendre que des places se libèrent tout au fond. C’est également très excitant d’écouter les mecs qui se touchent en s’encourageant de grognements furtifs. Il est également bon de se retourner et d’entrevoir les bites dégagées et les mains qui les astiquent, elles ne sont pas souvent celle du propriétaire de la bite.
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Fond de salle, j’arrive, je m’assieds à proximité de mon vieux suceur expérimenté. Nous commençons comme habituellement à exhiber nos matériels respectifs, puis à nous branler chacun pour soi dans un premier temps puis mutuellement par la suite. Il se penche ensuite vers ma bite, il déboutonne mon pantalon et fait glisser la fermeture éclair de ma braguette. Il plonge sur ma bite et l’avale gloutonnement. J’adore sa technique, le bruit de ses succions. Ses caresses entre mes cuisses. Je me cambre et m’écarte. Le salaud en profite. Je baisse mon pantalon, notre accouplement est bestial. Il veut me faire cracher le vieux pervers. C’est alors qu’une bande de jeunes entre dans la salle par la porte dérobée du fond. Je me retrouve avec le pantalon baissé avec un mec suçant ma bite, pas génial ! Les jeunes se marrent, ils ont venus pour ça mais s’en vont presque aussitôt. Nous nous décalons un peu plus loin de la porte, plutôt vers le milieu de la travée et nous reprenons nos activités là où nous les avions laissées. Le vieux finit par me vaincre et me faire jouir à fond, j’éjacule dans sa bouche. Hummmm
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Toujours au fond de la salle, j’arrive, deux mecs sont côte à côte, Jean Marc P que je connais, et un autre mec que je connais aussi, prof de français à Ambazac. Ils se sucent chacun leur tour. Ça va être chaud ! J’arrive je déballe ma queue et le prof voit l’engin, quitte la bite de JM pour la mienne, j’en profite pour tâter et branler JM, le plan à trois, un suceur et deux branleurs sucés est parti. Alternativement le prof suce l’un et l’autre et le sucé branle celui qui reste. C’est très chaud jusqu’à ce que le prof s’en aille. JM et moi nous mettons côte à côte pour une séance de branle mémorable avec éjaculation à la clé.
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A la sex shop Love Toy’s, à Limoges
J’ai demandé un ciné. Je m’oriente vers le fond de la grande boutique dédiée au sexe. J’entre par le rideau, dans la pénombre, et m’assoie sur le fauteuil à ma droite. J’aperçois sur la banquette à ma gauche deux mecs assis côte à côte. L’un d’entre-deux a le pantalon baissé et branle sa queue très raide en jetant sur moi des regards concupiscents. Un mec se trouve dans la salle sur la deuxième travée en avant, il préfère manifestement être seul. Un mec mur assez enrobé arrive dans la salle et s’assoie sur une des grandes travées du fond, juste devant moi. Il parait assez excité et se retourne fréquemment dès que je bouge un peu, les bruits accompagnant mes mouvements doivent lui laisser espérer des possibilités d’excitation et de rapprochements intimes. Je me branle. Le mec devient très intéressé. L’autre mec en érection et au froc baissé s’en est aperçu. Il se relève pour voir le mur enrobé et, trouvant la scène à son goût, vient finalement s’asseoir sur la première travée à ses côtés. Ils se rapprochent très vite l’un de l’autre et s’empoignent mutuellement la queue en une branle frénétique que je devine aux mouvements de leurs corps et à l’expression extatique de leurs visages. Puis le mec du fond le suce et inversement. S’en suit une partie de branle et de suce qui, vue par l’arrière, m’excite furieusement. Finalement le mec mur et enrobé s’agite de soubresauts orgasmiques, sa tête se cambre vers l’arrière par des mouvements saccadés. Il jouit manifestement dans la bouche de son suceur expert. Ce dernier ne l’a pas accompagné dans sa jouissance et revient s’asseoir à côté de son voisin au comportement provisoirement passif.
Mais le scénario se modifie sur la banquette à deux places. Le mec énigmatique commence à caresser avec art la bite de notre bandeur forcené. Ce dernier apprécie, son visage est tendu dans un plaisir intense. Les gémissements et les soupirs se font audibles. Les choses se corsent lorsque notre pseudo voyeur se relève, baisse son pantalon, se met à genoux et entame une suce démente et prolongée de son voisin de banquette. Notre suceur fait preuve d’une grande dextérité, il prolonge l’accouplement bucco-génital avec gourmandise. Tout se termine dans un soubresaut du corps du sucé accompagné d’un râle orgasmique. La jouissance a été totale pour deux participants à cette séance de ciné vidéo pour adultes. Pour ma part je n’ai fait que me branler et voir, ce n’est pas si mal. La vidéo était peu intéressante, les concepts de l’érotisme à l’américaine sont totalement caricaturaux et peu respectueux des femmes et de leur plaisir. Le spectacle est bel et bien dans la salle, le spectateur peut également y devenir un acteur.
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Séance au Love Toy’s du 5 mars 2016
Samedi vers 15h30, à l’arrivée, sur la banquette de gauche deux mecs pantalons baissés se branlent. L’un des deux est un bear bien arrondi. Les queues sont bien dégagées et fermement prises en main par chacun des partenaires. Le bear se fait entreprenant, il prend du Poppers, se lève et présente son cul à la bite de son partenaire qui, manifestement, n’en veut pas. Du coup le bear se calme. Un autre mec arrive il a l’air bien excité et jette des regards concupiscents sur les banquettes de derrière. Le mec assis à côté du bear finit par se lever et vient s’assoir à côté de lui. Il a manifestement envie de jouir et de se faire jouir, mais sans sodomiser son partenaire initial. Les deux hommes dégagent le bas puis en viennent très rapidement aux mains. La partie de branlette commence, très ardente et je devine les gestes répétitifs et presque frénétiques aux agitations de leurs têtes et aux physionomies extatiques de leurs profils. Il va y avoir du sport. La partie est engagée et c’est le mec qui s’est assis qui jouit. Il n’a pas résisté aux assauts manuels de son partenaire. Le scénario s’apaise momentanément mais pas pour longtemps. Un autre mec arrive. Il fait le tour du propriétaire pour bien repérer quelles sont les forces sexuelles en présence. Il s’assied seul sur une banquette de devant puis on l’entend enlever ses bottes puis son jean et enfin son slip, il est presque à poil et présente son cul appétissant et sa pine un peu moins à la confrérie des obsédés du sexe. Il passe devant moi mais je ne suis pas venu là pour participer mais uniquement pour faire acte de voyeurisme. Il finit par trouver en notre branleur vainqueur du combat précédent un partenaire à sa hauteur, ils s’assoient côte à côte et entament une branlette côte à côte qui s‘annonce très chaude comme la première. Notre mature pervers prend des expressions qui traduisent l’intensité de son désir et de son plaisir. Le match est plié en peu de temps. Notre précédent vainqueur est vaincu par plus fort ou plus expert que lui, il finit par jouir et a besoin de grosses fournitures en sopalin pour essuyer le résultat humide de son éjaculation. Il disparaît momentanément de la salle. C’est peu après qu’apparait un jeune homme manifestement accoutumé aux lieux. Il part s’installer sans trop hésiter sur la banquette de devant. J’entends le bruit de sa ceinture qui se dégrafe et celui de son jean qui glisse sur ses hanches puis sur ses cuisses. Notre récent vainqueur du combat de branle se lève en sa direction, dénude le bas, lui montre ses avantages fessiers puis vient s’asseoir à côté de lui. Le jeune homme se laisse entreprendre et les deux hommes finissent par se caresser là où ça fait du bien. C’est alors que notre vaincu du combat de branle précédent réintègre la salle et s’intéresse très vite à la tournure des évènements entamés sur la banquette de devant. N’écoutant que son reste de désir il vient s’assoir à côté du jeune homme et un trio très vicelard se constitue. Le jeune homme au milieu se fait attaquer sur son flanc droit et sur son flanc gauche. L’ambiance chauffe et l’homme au beau cul se met à poil puis vient s’agenouiller devant le jeune homme pour le sucer avec toute la virtuosité que l’on imagine. Notre vaincu lui caresse et lui mordille le cou, il lui passe la langue dans l’oreille. Notre bear que l’on avait oublié est à nouveau excité par la scène, d’autant plus que le jeune homme s’est totalement mis à poil et exhibe un torse magnifique. Le bear reste debout et se présente au trio queue libérée et à nouveau en érection. Le jeune homme lui prend la queue, la branle. Notre bear prend du poppers, s’excite et finit par jouir très bruyamment en répandant son sperme sur le sol. Il abandonne le trio qui s’échauffe un maximum, le jeune homme se lève se fait branler énergiquement par l’homme au beau cul et finit par jouir très bruyamment lui aussi.
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Séance au Love Toy’s du samedi 25 février 2017
J’entre : un gros bear sur la banquette double au fond, un grand mince sur la banquette simple au fond. Un mec sur la travée de devant. Un arabe âgé sur la travée du milieu. Je m’assieds sur la travée de derrière où il y déjà un mec assis. Je déballe mon matos et me branle longuement, le mec regarde de temps en temps à quoi ressemble ma bite, il me regarde aussi. Je lui touche son paquet au travers de son pantalon à deux ou trois reprises, pas de réaction négative ou positive. A un moment il tend subtilement une main en ma direction et passe son bras sur le dossier de la banquette, comme une invitation à passer à l’action, puis plus rien. Au bout d’une demi heure il se rapproche, me caresse savamment la bite jusqu’à me faire bander un maximum, je lui rends la monnaie de sa pièce au travers de son pantalon. Puis il s'incline vers moi, passe son bras dans mon dos, me caresse, se penche et m’avale goulument et me suce savamment, longtemps, c’est très bon, il rythme bien son activité, je lui caresse le dos et la nuque en même temps. Je suis excité comme pas possible, la tête appuyée à l’abandon sur le dossier de la banquette. Je finis par jouir dans sa bouche, intensément : super ! Nous échangeons un sourire. Nous nous essuyons avec des sopalins. Il ne reste plus qu’à aller voir le match de rugby France Irlande.
A suivre