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Séance au sex shop le lundi 13/11/2017

A l’entrée un mec debout, au fond, en plein milieu de l'entrée, puis deux autres, un assis sur le fauteuil simple à droite et le deuxième sur la minibanquette double à gauche. Après un bref moment d'acclimation à la pénombre j'en repère encore deux sur chaque banquette du fond. Pas le choix, il ne me reste que la banquette de devant. Pas drôle, l’écran est trop près et je ne perçois absolument rien de ce qui peut se passer dans la salle, c’est évidemment très frustrant. J’attendrais donc que des places se libèrent. Sept mecs dans la salle, huit avec moi, ça fait beaucoup !

J’entends quelques bruits dans mon dos mais rien de vraiment suggestif, pas de quoi s’exciter, je me retourne néanmoins à plusieurs reprises, espérant capter quelques messages visuels très sexuels, mais rien…

En désespoir de cause j’attends et, finalement, une place se libère sur la banquette du fond. Un gros mec à mes côtés n’est manifestement intéressé que par l’écran de son phone, pas de mouvements autour de sa braguette, pas d’exhibition. Par contre devant moi un pépé et un homme dans mes âges se travaillent la quéquette en version chacun pour soi. Je repère de temps à autre une accélération de la branlette de mon voisin de devant par l’intermédiaire des soubresauts de sa tête.

Mon gros voisin s’en va s’asseoir sur le fauteuil du fond qui a été libéré : pas une grosse perte. Il est remplacé peu de temps après par un jeune qui pas motivé du tout par l’action libertine bien qu’il lorgne très discrètement ma queue dégainée et mon gland turgescent. Il finit par se lever et s’en aller.

J’entends des bruits bizarres émanant du fauteuil du fond et de son occupant. Je me retourne peu de temps après et me rends compte que son occupant est à poil et décoré par quelques ustensiles fortement inspirés par une tendance sadomasochisme. Son physique enrobé à l’excès et sa toux bronchiteuse ne m’inspirent pas du tout.

Lassé de rester passif je décide de passer à l'action et de stimuler le mec de devant en l'excitant auditivement par des soupirs et des gémissements sans équivoque. Ma stratégie est la bonne, il se retourne souvent et entame une branle frénétique.

Le second niveau d’attaque consiste à lui susurrer des mots et des phrases sexuelles du style : « c’est bon de se branler », « ahhhhhh », « viens avec moi qu’on se touche », « j’ai envie ». Manifestement mon mec est mur. Il se retourne en se masturbant, regarde ma bite et nous nous branlons et nous excitons très fortement. Il finit par se lever et vient se mettre debout à côté de moi pour que je le suce. Je refuse l’offre et lui suggère de venir plutôt d’asseoir avec moi, il s’exécute.

Nous nous rapprochons très rapidement et touchons nos bites dégainées. La branle réciproque commence ponctuée de ralentissements, d’arrêts et de phases d’autobranlette. Il accélère de temps en temps son travail sur ma queue, je le lui rends par des branles raffinées de style faux vagin, bien sensuelles et descendant jusqu’à ses couilles. Je sens sa queue assez épaisse à la base et fine à l’extrémité. Je lui caresse l’intérieur des cuisses. Nous gémissons et nous agitons. Le gros de derrière est fortement excité par notre comportement. Il se lève et vient nous voir. Je ne tiens cependant pas à ce qu’il me touche et lui fait très clairement signe de s’éloigner. Il manifeste son mécontentement et formule sans doute quelques injures à mon propos puis finit par se réinstaller sur son fauteuil de gros porc.

Nous nous finissons avec mon partenaire, le temps presse et il va falloir que je quitte la salle. Il est au bord de la jouissance et il me fait signe de ralentir ma branlette. Je suis aussi au bord de l’extase. Malheureusement je dois m’en aller, je m’habille, me relève et disparaît. Notre tripotage aurait dû commencer plus tôt. Ce sera pour une autre fois.

A l’entrée un mec debout au